Résumé
La troisième enquête du commandant Wallyn…
Elle pourrait, vous le verrez, être sous-titrée « des Chiffres et des Lettres ». Retrouvez, le commandant, son amie Hélène, le procureur Casanova, la juge Vachet, son fidèle collègue et ami, le major Chris Navel…
Mais, surprise, découvrez aussi une jeune et très jolie capitaine, Laurence Delgado, nouvellement affectée au commissariat de Dieppe, qui vous rappellera assurément quelqu’un.
Comme dans les deux premières enquêtes, Infernale solitude – Meurtres à Dieppe et Dessine-moi l’ombre ! – L’Ombre maléfique, Et si c’était écrit se déroule à Dieppe, le Dieppe de 2022, mais aussi au Petit-Caux qu’adorait Oscar Wilde ; avec toutefois trois incursions dans le Limousin, en région parisienne et même en Belgique, le pays des ancêtres du commandant Wallyn.
Une enquête emplie de symbolisme, dont l’ordre, s’il n’explique pas tout, disait Lacan, y contribue beaucoup, affirme Wallyn.
Biographie de l’auteur :
Commandant de police retraité, Jean-Claude Lagrou a connu trois directions de la Police nationale : la Sécurité publique, à Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis), les Renseignements généraux, puis la Police de l’air et des frontières à Dieppe (Seine-Maritime) ; service dont il a assuré le commandement jusqu’à son départ à la retraite.
Formateur de la Police nationale et expert international en fraude documentaire et en circulation transfrontière Schengen, il a dispensé des cours tant en France qu’à l’étranger, Roumanie, Slovaquie…
Dunkerquois d’origine, né à Rosendaël, il est marié à Marie-Paule Dehouck, voisine saint-poloise. Il est père de deux enfants, Emmanuel, le Montréalais, et Dominique, la Parisienne. Il est également l’heureux grand-père de Mathilda, Esteban et Pauline, la Québécoise. Il vit à Dieppe depuis quarante-six ans.
Il adore la lecture, notamment Georges Simenon, l’humour de Pierre Desproges, l’esprit chansonnier en général, les mots croisés, le jazz qu’il écoute en boucle en écrivant ; ce qui influe assurément sur son style d’écriture rythmé, « syncopé ». Sans oublier, bien sûr, le Carnaval dunkerquois ! Jean Bart ! Jean Bart ! Salut à ta mémoire ! Il a fait sienne la devise de Jean Cocteau : « Écrire est un acte d’amour. S’il ne l’est pas il n’est qu’écriture. »
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