Avec sa pièce de théâtre, La Libertine côté jardin, Katia Verba nous sert un cocktail rafraîchissant et pétillant à souhait. Humour, manigances, rebondissements, personnages hauts en couleur… Tous les ingrédients sont réunis pour nous faire passer un excellent moment.
Dès les premières lignes, on est plongé dans une ambiance survoltée. Les répliques s’enchaînent du tac au tac, et on a l’impression d’entendre déjà le rire des spectateurs…
L’auteure nous a concocté une poignée de personnages déjantés comme on les aime.
Une romancière « borderline », en pleine crise de la cinquantaine, veillant sur son plant de cannabis comme d’autres soignent leur bonsaï. Une belle-mère bourgeoise, un brin excentrique, débarquant en coup de vent, ou plutôt comme une tornade, avec la ferme intention de s’incruster ! Une secrétaire effrontée au curriculum vitae plus que sulfureux. Un gendre trader bien sous tous rapports, mais avec plus d’un squelette dans le placard. Sans oublier Zola… le lapin, qu’on aperçoit sur la couverture du livre. Du moins, on suppose que c’est lui !
Décidément, Katia Verba continue de nous gâter avec cette huitième pièce de théâtre. À peine le rideau rouge vient-il de se refermer sur Fatalement vôtre, qu’elle récidive avec cette comédie qu’on espère bien retrouver bientôt sur les planches…
La Libertine côté jardin, Édition Mon petit éditeur, 120 pages, 15,15 € format papier, 7,98 € format PDF, 7,99 € format ebook.
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© Karen Platel – Rédactrice, correctrice, conseillère en écriture – www.redacnet.com
verba
Merci Karen pour cette excellente chronique. Amicalement. kv
Davina
Merci pour ce partage