Récit, Roman

Quai des roses

Quai des roses - 1er couv

Andréa Novick

Quai des roses

17,00

Résumé

Dieppe, dans les années soixante-dix, n’était pas encore une charmante station balnéaire prisée pour son port de plaisance, ses restaurants et ses richesses architecturales.

Une atmosphère bien différente de celle d’aujourd’hui régnait sur les quais, où s’était implanté le milieu de la prostitution. Les règlements de comptes entre malfrats étaient légion. Le trio infernal constitué de Zizipanpan, Chopinette et Draguita la gipsy commence à tisser des liens scabreux, turbinant pour le dénommé Pipine.

Un soir de beuverie, celui-ci, sur un coup de dés, perd ses trois meilleures gagneuses qui se retrouvent désormais sous la coupe d’Hermès, un souteneur dénué d’états d’âme.

Le commandant Chauvin espère mener rondement son enquête. Mais après plusieurs disparitions et avec plus d’un cadavre sur les bras, l’affaire risque bien de se révéler… épineuse !

Biographie de l’auteure :

Andréa Novick partage sa vie entre Dieppe et Cannes. Gagnée par le virus de l’écriture, son inspiration puise souvent dans la réalité, même si elle laisse ses personnages n’en faire qu’à leur tête. Elle est l’auteure de polars dont Quai des roses (2023) et Le Secret de l’albinos (2011), un thriller psychologique oppressant, mettant en scène un homme en proie à des troubles du comportement. Parmi ses romans, figurent également : Les Fruits amers du hasard (2016) et Les Scorpions d’Ouarzazate (2020). Le Mystère de la pierre sculptée (2010) relate la complexe et intrigante relation entre deux personnages sur fond de désir de vengeance d’une femme atteinte d’un angiome facial. Andréa Novick possède également à son actif David et Goliatha (2013), la biographie d’un célèbre producteur américain ainsi que la série Titus et Bouboule, une collection de seize livres destinés aux jeunes lecteurs.

Description

L’avis de Rédacnet

Un roman doux-amer, où tragédie et comédie légère flirtent impunément. La plume littéraire de l’auteure prend soudain, au détour d’une phrase, des accents comiques où l’humour, tantôt burlesque tantôt grinçant, s’exprime de façon tout à fait décomplexée. Les personnages sont hauts en couleur, réalistes, charismatiques et attachants. Le style très imagé d’Andréa Novick nous dépeint des situations parfois cocasses, voire loufoques. À d’autres moments, l’émotion affleure. Un « polar » qu’on lit d’un trait tant il est prenant et qu’on peut même relire plusieurs fois afin d’en apprécier toutes les subtilités.