LE FILS DU TESSALA

Le fils du tessala
  • Relecture et correction approfondie du manuscrit
  • Relecture et suivi des épreuves
  • Conseil éditorial et gestion complète de projet
  • Mise en pages
  • Rédaction éditoriale (quatrième de couverture)
  • Conception et exécution graphiques de la couverture, de la maquette intérieure et des supports promotionnels
  • Suivi éditorial
  • Suivi de fabrication
  • Promotion sur les réseaux sociaux
Auteur

Zoulikha Magroufel Haba

Éditeur

Esneval Éditions

Infos techniques

Format : 14 × 21 cm

Nombre de pages : 250

Prix : 18,90 €

ISBN : 979-10-94116-00-5

Jeanne était mariée à Francis, le colon. Il travaillait sa terre de l’aube au coucher du soleil. Elle était médecin. Tous les jours, elle battait la campagne pour visiter ses patients, luttant contre la maladie, mais aussi contre l’ignorance et la fatalité. Cette fatalité, qui l’avait privée d’enfant, était sa seule douleur, son seul regret, qu’elle surmontait grâce à l’amour de Francis. Lorsque le destin mit sur son chemin le petit Ali, elle lui transmit ce que la République a de mieux à offrir à ses enfants. Elle l’éduqua comme son propre fils. Malgré sa bonne volonté, elle fit de lui un étranger parmi les siens. La malédiction qui frappe le petit Ali lui sera-t-elle fatale ou salutaire ? Après Les mouettes noires, troisième prix Fondcombe 2015, Zoulikha Magroufel Haba nous livre ici le second volet de sa saga familiale d’inspiration autobiographique. De Sidi-Bel-Abbès à Alger, de Saint-Denis-Du-Sig à Tiaret, d’Oran à Oued Imbert, ce second roman nous entraîne, pendant la période de la colonisation française, depuis l’arrivée de la France en Algérie en 1830 jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale. Le fils du Tessala est une histoire d’amitié, d’amour et de conflit entre deux peuples qui subissent leur destinée. Un monde en pleine évolution face à un monde stagnant, replié sur lui-même, pétri d’ignorance, de croyances occultes et de superstitions.

Zoulikha Magroufel Haba a grandi à Alger. Dans les années soixante-dix, elle part étudier à Paris puis à Londres. Elle entame, ensuite, une carrière dans le milieu de la finance. Désormais, elle se consacre à l’écriture. L’occasion de faire le point sur son double héritage culturel, entre Orient et Occident.